Time off
J'ai juste trop besoin de réussir pour accepter l'idée de recommencer.
Juste trop peur d'échouer pour prendre le risque.
Je vais savourer le repos, oublier les défis. Réapprendre a regarder mes acquis à leur juste valeur.
Voilà pourquoi.
La réalité, c'est ce qui continue d'exister quand on a cessé d'y croire
J'ai juste trop besoin de réussir pour accepter l'idée de recommencer.
Juste trop peur d'échouer pour prendre le risque.
Je vais savourer le repos, oublier les défis. Réapprendre a regarder mes acquis à leur juste valeur.
Voilà pourquoi.
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live, on citegay :
Oxygène : "Tu es un beau gars, tu es originaire de la campagne, toi."
Twisted : "Merci ! Oui, je suis originaire d'xxx."
Oxygène : "Moi campagne gersoise. Tu as déjà saigné un poulet, toi."
Twisted : ZAPPER
...
Me demande si je vais pas résilier mon abonnement internet, finalement.
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Voilà. Il est temps.
Plus d'un mois de silence, si ce n'est un peu de “musique” pour me (vous ?) rappeler que je suis vivant, que ça bouge là-dedans.
Un mois mis à profit, entres autres, pour jouir de la vie, très simplement. Pour me prouver que je suis parfois capable de ne pas ruiner mes journées libres et solitaires. Que je sais finir quelques projets sans bâcler. Ne pas perdre des heures a chercher sur internet de quoi satisfaire mes phantasmes et mes hormones. Aller droit au but, le programme établi, bien chargé mais sans obligation absolue, sans pression.
La découverte, aussi, que glander ne me satisfait plus : je regrette de plus en plus amèrement chaque journée perdue. J'enrage. Et d'autant plus quand ces heures mortes ne sont pas de mon fait.
Ma rentrée a épisodes m'a laissé le temps de reprendre un niveau de motivation professionnel et sportif correct. Je crois qu'il va m'en falloir tout de même... pour apprendre maintenant à ne pas attendre trop de moi-même, de ma vie au quotidien.
Mon homme a tendance a partir en vrille dans un contexte professionnel décevant, frustrant, pour ne pas dire franchement menaçant parfois. Les coups pleuvent, il va devoir apprendre a se détacher. De fait, il commence a réclamer une vie sociale. Là j'avoue, je laisse un peu pourrir. Je suis rancunier. Très. Je le soutiens néanmoins, et il en vient parfois a me surprendre a nouveau. A part ce revirement, sa prise de conscience d'autres besoins, on peut dire que de ce côté là, c'est le status quo. On s'en sort, même sans grande flamme.
Côté flamme, justement : un certain loup m'a franchement laissé tomber. Trois appels de ma part sans suite, mon numéro de portable apparemment pas vraiment prioritaire puisque non transféré dans son nouveau téléphone. J'enrage. Je fulmine. Je me ronge parfois de ces petits riens. Et j'essaie de gérer l'absence. J'aurais préféré qu'il quitte la région comme il l'avait prévu il y a quelques mois. Ça m'aurait évité de le savoir si proche. D'être prêt parfois a faire n'importe quoi pour avoir ma dose.
Et puis... pas grand chose, mais tout de même : les questions existentielles sont bel et bien là, juste sous les couches variées d'occupations quotidiennes. L'envie de procréer, peut-être. D'éduquer, sans doute. De participer au monde humain en y faisant entrer de nouveaux individus selon mes valeurs.
Mais : capable ? et comment ? et dans quel monde ?
Bon, cessons là pour l'instant. Je ne suis pas particulièrement fier de ce post... Mais c'est déjà une reprise.
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Ca vient, ça vient, ça revient. Lentement, mais ça revient. Plus d'un mois de pause. Mis a profit d'abord, puis un peu piégeux ensuite : j'ai besoin de ré-apprendre — encore ! — a imbriquer les idées, les sentations. Mettre a plat pour comprendre et me guider.
En attendant, un feeling :
Mieux vaut n'penser à rien
Que n'pas penser du tout
Rien c'est déjà
Rien c'est déjà beaucoup
On se souvient de rien
Et puisqu'on oublie tout
Rien c'est bien mieux
Rien c'est bien mieux que tout
Mieux vaut n'penser à rien
Que de penser à vous
Ça n'me vaut rien
Ça n'me vaut rien du tout
Comme si de rien
N'était je pense à tous
Ces petits riens
Qui me venaient de vous
Si c'était trois fois rien
Trois fois rien entre nous
Evidemment
Cà ne fait pas beaucoup
Ce sont ces petits riens
Que j'ai mis bout à bout
Ces petits riens
Qui me venaient de vous
Mieux vaut pleurer de rien
Que de rire de tout
Pleurer pour un rien
C'est déjà beaucoup
Mais vous vous n'avez rien
Dans le cœur et j'avoue
Je vous envie
Je vous en veux beaucoup
Ce sont ces petits riens
Qui me venaient de vous
Les voulez-vous ?
Tenez ! Que voulez-vous ?
Moi je ne veux pour rien
Au monde plus rien de vous
Pour être à vous
Faut être à moitié fou.
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Libellés : couteau dans la plaie
Un sentiment de liberté. Pas de poids, pas de cerveau, pas d'angoisses, même pas celles de rater la journée, ou les vacances. Pas de contingences : dormir en suffisance, manger quand j'ai faim, glander le reste du temps. Shopping, plage, baise.
Je suis en stand-by au soleil, et c'est BON.
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Les hommes qui mettent des bermudas parce qu'on est en juin, même s'il fait 10 degrés dehors.
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